Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Librairie M'Lire - Page 4

  • I invade you de sarah Turoche-Dromery & Nils Barrelon (édtions Thierry Magnier)

    20170804_155701.jpg

    Après avoir édité l’année dernière un très beau roman autour du graff (Robin des graffs de Muriel Zürcher), les éditions Thierry Magnier publient à nouveau un texte qui se passe sur fond de street art, le très réussi I Invade You de Sarah Turoche-Dromery et Nils Barrellon. Deux cadavres sont retrouvés sous des créations abîmées d’Invader, le street artist célèbre pour recouvrir de ses mosaïques pixélisées les murs des plus grandes villes du monde. C’est plus qu’il n’en faut pour éveiller les soupçons de Lila, jeune enquêtrice qui vient d’arriver à la brigade criminelle. Grâce à ce texte, nous plongeons littéralement dans l’univers d’Invader et de ses fans. Mais nous le faisons au travers d’un roman policier très efficace. Le lecteur suit plusieurs personnages en même temps qui ont pour point commun d’utiliser l’application Flash Invader qui permet de photographier les œuvres de l’artiste et de marquer des points (cette appli existe vraiment !). Invader est même un personnage central du roman. Mais l’intrigue prend vite le dessus et le roman policier se déroule comme on les aime. Surprenant, efficace et addictif !

     

    I invade you

    Sarah Turoche-Dromery & Nils Barrelon

    édtions Thierry Magnier - 14.50€

    9791035200329

     

    Vous pouvez acheter ce très bon livre en suivant ce lien

     

  • Dédicace de Chloé Wary pour Conduite interdite (Steinkis)

    chloé wary.jpg

    C'est vraiment très très cool de recevoir bientôt Chloé Wary pour une rencontre autour de sa bande dessinée CONDUITE INTERDITE publiée chez Steinkis. A la librairie (et dans bien d'autres endroits) nous avons tous adoré sa façon d'aborder ce sujet bien épineux.

    En Arabie Saoudite, les femmes n'ont pas le droit de conduire et Chloé Wary raconte l'histoire d'un collectif de femmes qui refusent cela et ont décidé de se battre pour leurs droits.

    Cela donne de très belles pages comme celles-ci :

    chloe wary, conduite interdite, steinkis, m'lire, dédicace, librairie, bd

    chloe wary, conduite interdite, steinkis, m'lire, dédicace, librairie, bd

    chloe wary, conduite interdite, steinkis, m'lire, dédicace, librairie, bd

    Alors si vous voulez en savoir plus... venez rencontrer Chloé Wary !

  • Lectures de Simon

    affiche théâtre mai.jpg

    Au programme :


    Loup gris et la mouche de Gilles Bizouerne et Ronan Badel (Didier jeunesse)

    Tu m'attraperas pas! de Timothy Knapman et Simona Ciraolo (éditions Pastel)

    Disparais ! de Michaël Escoffier et Matthieu Maudet (l'école des loisirs)

    Le garage de Gustave de Leo Timmers (Glénat Jeunesse)

    Qui a soufflé mes bougies de Ilan Brenman et Magali Le Huche (Glénat Jeunesse)

  • coeur naufrage de Delphine Berthelon (éditions JC Lattès)

    CVT_Coeur-naufrage_8959.jpg

    On n’est pas sérieux quand on a 17 ans.

     

    Dans son nouveau roman, Delphine Bertholon invoque les fantômes du passé, les secrets et les non-dits familiaux.

     

    Lyla et Joris avaient à peine dix-sept ans quand ils se rencontrent cet été-là sur la côté landaise. Un amour de vacances parmi tant d’autres.  Deux gamins de milieu social très différent, deux gamins qui n’auraient jamais dus se rencontrer. Pourtant tous deux partagent un père et une mère absente, un père et une mère abusifs . C’est d’ailleurs ce point commun qui va les rapprocher. Aujourd’hui Lyla a trente-quatre ans, vit à Paris et travaille comme traductrice pour une maison d’édition.  Une vie sans couleur et sans goût qui la persuade qu’elle est en train de passer à côté de quelque chose. Certainement, mais de quoi au juste ? Ces seules fréquentations sont son amant,  l’éditrice pour qui elle travaille et sa meilleure amie, qui collectionne les peluches pour les revendre sur internet et qui écoute sans se lasser ses névroses.  Jusqu’au jour où un étrange message sur son téléphone la ramène dix-sept ans en arrière sur cette fameuse côte landaise. Elle qui voulait enterrer et oublier une bonne fois pour toute son passé, va devoir faire face aux choix qu’elle a fait et à leurs conséquences.

     

    Delphine Bertholon continue d’explorer les blessures de l’adolescence et leurs incidences sur les existences de ses héros, héros auxquels on peut très vite s’identifier et pour lesquels nous avons une grande affection. Lyla et Joris auraient très bien pu être vous , moi, votre meilleur(e) ami(e). L’adolescence est une période compliquée dit-on. Vos choix feront de vous un adulte et cela, Delphine Bertholon l’a très bien compris.

     

     

    Coeur-Naufrage

    Delphine Berthelon

    Editions JC Lattès

     

    Pour acheter ce livre, vous pouvez le faire ici

     

  • ENTRETIEN AVEC VINCENT CUVELLIER

    Vincent Cuvellier, écrivain & Co.

     

    Une bande dessinée (sa première pour les grands), un album poétique sur la paternité, un nouvel épisode de l’impertinent Emile, la réimpression de son documentaire sur les présidents de la république, un récit autobiographique décalé sur le statut de l’écrivain… Et puis l’ouverture à Bruxelles d’une bouquinerie Les Gros Mots… Le printemps sera particulièrement dense pour l’écrivain Vincent Cuvellier. L’occasion pour nous de faire un point avec lui sur son actualité.

     

    contributor_69180_244x0.jpg

     

    Bonjour Vincent, vous publiez plusieurs ouvrages simultanément et une impression se dégage fortement de ces publications. Vous êtes, en tant qu’écrivain bien sûr, mais surtout en tant que personne, extrêmement concerné par les sujets que vous traitez (la paternité, l’écriture, la vie d’écrivain). Parlez-nous de votre projet  Je ne suis pas un auteur jeunesse ? Pourquoi l’écrire maintenant ? Quel message voulez-vous porter avec ce récit ?

    VC : Bonjour, ça fait longtemps que j’avais envie de parler de mon métier… l’écriture, c’est mon truc depuis que je suis tout petit, depuis que j’ai 17 ans je me faufile là-dedans, avec des hauts et des bas… j’avais envie d’en parler à ma manière, simplement, avec pragmatisme, mais aussi en râlant contre quelques trucs que je n’aime pas…

    IMG_20170408_174602_436.jpg

    Avez-vous vu la situation d’écrivain changer depuis ce temps ? Etes-vous inquiet ou optimiste pour les années à venir ?

    VC : Je pense qu’il n’y a jamais eu autant de gens qui écrivent, et qu’un écrivain lambda n’a jamais été aussi mal payé… je pense qu’il devrait y avoir moins de livres publiés mais que ceux-ci soient mieux valorisés.

     

    Quel rôle dans votre livre jouent les personnages de Claude François, le Général de Gaulle ou Lino Ventura ?

    VC : Ils apportent un peu de recul… ils me disent quand je déconne, quand j’exagère, quand je m’énerve… ce sont mes amis imaginaires, quoi !

     

    Vous publiez également Mon fils qui est un long texte poème autour de la relation père-fils. D’où vous est venue cette envie et comment s’est déroulé le travail avec l’illustratrice Delphine Perret ?

    VC : Pour moi, ce livre, c’est la suite de « la première fois que je suis née »… je l’ai fait pareil, dans la même énergie… j’ai demandé à Delphine Perret, parce que c’est une des rares illustratrices qui n’a pas besoin d’auteurs : elle le fait très bien elle-même… du coup, quand elle illustre le texte d’un autre, c’est vraiment parce qu’elle veut le faire… on a travaillé comme je le fais toujours avec les illustrateurs : on discute bien du projet en amont, pour être sûr qu’on fait bien le même livre, et après, je laisse faire, n’intervenant que si besoin…

    IMG_20170408_174520_094.jpg

    Vous avez conscience que c’est finalement assez rare cette relation auteur-illustrateur dans l’édition jeunesse ? Le travail que Delphine Perret a effectué sur votre texte est admirable de simplicité et de puissance. Comment l’avez-vous perçu ?

    VC : Ah mais pour moi, c’est tout à fait normal, c’est quelque chose que je défends depuis mes débuts… travailler avec un illustrateur et un éditeur, ça fait partie de mon job, autant que l’écriture elle-même… je fais des livres, en entier, pas qu’un texte. Et Delphine, je lui ai demandé d’illustrer mon texte, justement pour sa simplicité et sa sensibilité. Et puis, c’est une illustratrice qui écrit ses propres textes, si elle illustre d’autres textes, c’est qu’elle en a vraiment envie, qu’elle a un truc à dire avec.

     

    IMG_20170408_174757_659.jpg

     

    Vous publiez également un nouvel épisode de la série Emile : Emile fait l’enterrement.

    IMG_20170408_174433_072.jpg

    Comme toujours, le personnage est à la fois sans concession, impertinent et en même temps terriblement touchant. Etes-vous fier de la manière dont la série se développe et où vous l’emmenez histoire après histoire ? On a le sentiment que vous ne vous interdisez rien par rapport aux thèmes abordés.

    VC : Oui, pourquoi je m’interdirais des choses ? et c’est aussi parce que avec l’illustrateur et l’éditrice, nous sommes sur la même longueur d’ondes… Emile n’est pas tout à fait un personnage comme les autres… quand j’écris ses histoires, je dois me mettre à la fois dans un cadre de narration très strict, et dans une liberté très large… Emile, c’est un concentré de plein de choses de moi, de ma vie, de ma manière de voir plein de trucs… c’est un espace de liberté, j’en profite…

     

    C’est du coup assez jouissif pour les lecteurs que nous sommes de profiter également de cette liberté. Pourquoi d’après vous est-ce si rare ?

    VC : Ah pour plein de raisons… sans doute un certain conformisme… la liberté, c’est pas un truc qu’on obtient tout de suite, faut aller la chercher avec les dents… c’est aussi mon critère de choix numéro un pour choisir mes éditeurs…

     

    Enfin, on ne pouvait pas ne pas parler de l’ouverture de votre bouquinerie à Bruxelles, votre ville d’adoption. Elle s’appelle LES GROS MOTS (cela vous va bien je trouve). Dites-nous ce que nous pourrons y trouver ?

    VC : C’est une boutique et c’est aussi mon bureau : il y a des vieux livres, des plus récents, des jouets, des affiches, des dessins, mais que des trucs que j’aime bien… ça ressemble un peu à chez moi, mais un chez moi où on peut rentrer et acheter les trucs… l’autre jour, j’ai entendu des jeunes femmes qui sortaient en disant « ohlala, qu’est-ce que c’est mignon ! » C’est cool !

    capture_d_e_cran_2017-02-03_a_10.03.02.png

  • Un cri sous la glace de Camilla GREBE (Calmann Lévy)

     419HEaC8cxL._SX195_.jpg

    Dans le genre polar, les pays nordiques et particulièrement la Suède ont leurs lettres de noblesse. C’était sans compter sur Camilla Grebe, qui signe ici son premier roman écrit toute seule (elle est déjà connue dans son pays pour des textes écrits à quatre mains).

     

    Emma est une jeune suédoise qui cache un secret : elle entretient une relation amoureuse avec son patron, Jesper Orre, riche homme d’affaires controversé, accusé de corruption et de harcèlement sexuel entre autres. Elle ne doit donc surtout pas ébruiter leur relation. Mais, quelques jours après leurs fiançailles, Jesper disparaît et le corps d’une femme, dont la tête a été découpée, est retrouvé dans sa villa. Peter, policier abîmé par la vie et Hanne, profileuse, sont chargés de l’enquête.

    Cela faisait dix ans qu’ils n’avaient pas travaillé ensemble. A l’époque, ils enquêtaient sur le meurtre d’un homme qu’ils n’ont jamais résolu. Peter et Hanne avaient aussi eu une relation amoureuse, qui avait échoué à cause de Peter. Bien évidemment leurs retrouvailles sont un peu tendues surtout que leur enquête réveille de vieux souvenirs.

    Au fil du roman, il s’avère que chaque personnage cache des zones d’ombre. Camilla Grebe a l’art de nous manipuler et nous offre un polar qui maintient le suspens jusqu’à la dernière page.

    La relève est donc assurée !!

     

    chronique de Delphine Bouillo

     ****

    Un cri sous la glace

    Camilla GREBE

    Editions Calmann Lévy - 21.90€

     

    Vous pouvez acheter ce livre dans notre boutique en ligne

  • Collection Mes promenades sonores de Agnès Chaumié & Eva Offredo(Didier jeunesse)

    Alors que le marché des livres à puces (comprenez les livres où le jeune enfant appuie lui-même sur une puce sonore, aucun lien donc avec des livres de chien ou de chat…) explose, les éditions Didier Jeunesse parviennent à nous surprendre avec une très belle collection, « Mes promenades sonores », de loin la plus poétique de ce secteur.

    IMG_20170406_135642_109.jpg

    À l’origine de cette collection, nous retrouvons Agnès Chaumié, musicienne et chanteuse bien connue pour son travail dans l’association Enfance et Musique.

    Elle a notamment réalisé des albums devenus classiques comme Rondes de nuit, Mon Petit Doigt m’a dit ou plus récemment Je chante avec mon bébé (tous publiés par l’association Enfance et Musique).

    Elle revient cette fois avec un projet pour les plus petits où elle propose une approche poétique et sensitive de la musique et des sons.

    Les quelques pastilles sonores que l’enfant va découvrir avec ses doigts vont le faire voyager et l’emmener là où l’imaginaire des images le conduiront.

     

    Dans Voyage en mer par exemple, c’est l’univers marin qui est suggéré par ces instants sonores entre bruitages et musique. Tout cet univers fonctionne évidemment grâce aux sons proposés mais également grâce à l’illustration.

    IMG_20170406_141318_112.jpg

    Il faut féliciter ici Éva Offredo qui a merveilleusement réalisé ces images à la fois poétiques et simples. Le résultat est somptueux et d’une douceur reposante. Il annonce de beaux moments d’intimité avec les tout-petits.

     

     

    Dans la forêt / Voyage en mer

    Agnès Chaumié & Eva Offredo - Didier jeunesse

     

    Si vous voulez acheter l'un de ces deux livres, c'est par ici

    Cet article est paru dans la revue Page des libraires

     

  • STABAT MURDER de Sylvie Allouche (Syros)

    stabat murder,sylvie allouche,syros,littérature ado,policier,thriller,musique,piano,librairie mlire,laval,solene duroch

     

    Quatre jeunes pianistes disparaissent sans laisser de traces à la veille d’un tournant décisif pour leur carrière musicale. Un thriller haletant et rythmé.

     

    Pour Valentin, Matthis, Mia et Sacha, la pression commence à s’intensifier et ils doivent redoubler d’efforts pour parvenir au sommet de leur discipline, le piano. Ils préparent tous les quatre un concours national d’une grande renommée qui leur permettra d’assurer leur avenir professionnel. Ces adolescents ont très peu d’amis et passent tout leur temps libre à travailler avec acharnement, absorbés par leur passion commune. Pour rien au monde ils ne louperaient une séance d’entrainement. Alors comment expliquer leur disparition soudaine et totalement inattendue un matin où ils devaient se rendre à un de leur cours au Conservatoire national supérieur de musique classique ?

     

    Stabat Murder est un véritable page-turner, roman policier intense et psychologique. Nous sommes pris dès le début dans les filets d’une intrigue captivante où les indices sont livrés au compte-goutte et le suspense est de plus en plus tenace. La commissaire chargée de l’affaire est vite confrontée à un manque de preuves et chaque minute qui passe met la vie des adolescents en danger. Sylvie Allouche arrive à nous tenir en haleine jusqu’aux toutes dernières pages et nous offre une fin à la hauteur de nos attentes !

     

     (chronique parue dans le n°183 de la revue Page des libraires)

     

    Si vous avez follement envie de lire ce thriller, c'est par ici pour l'acheter !

     

    Stabat Murder

    De Sylvie Allouche

    Syros - 15,95 €

  • Lectures de Simon au Théâtre - mercredi 05 avril à 17H

    affiche théâtre avril.jpg

    Au programme des lectures


    "Elle est bonne" de Jean Gourounas - L'Atelier du Poisson Soluble


    "Dis ours tu dors" de Jory John et Benji Davies - Illustrator - Little Urban


    "Son chat-chat à sa chouchoute" de Agnès de Lestrade et Clothilde Delacroix - Éditions Sarbacane


    "Odile" de Marie Dorléans - Seuil Jeunesse


    "Le loup de viendra pas" de @Myriam Ouyessad et Ronan Badel - Éditions de l'Élan Vert

  • 10E RENCONTRES BD EN MAYENNE - 1 & 2 AVRIL

    Retrouvez-nous tout au long du weekend à Changé pour les 10è Rencontres BD en Mayenne

    IMG_20170331_090613_217.jpg

    Les Rencontres BD seront ouvertes au public de 14 h à 19 h samedi et de 10 h à 18 h dimanche, à la salle des Ondines, à Changé, en Mayenne.

    Diverses animations sont proposées :

    SAMEDI

    • Ateliers BD avec des auteurs à 14 h, 15 h et 16 h
    • Lecture dessinée : Kodhja à la salle des Nymphéas à 14 h 30
    • Remise du prix Bull’gomme 53 à 17 h

    DIMANCHE

    • Ateliers BD à 11 h et 15 h
    • Film d’animation/débat : Pierre et Lou à 11 h
    • Film d’animation/débat : Le monde d’Oan et 16 h

    Et tout au long du week-end, retrouvez :

    • La librairie M’Lire
    • Bouquin’bulles
    • Des expositions
    • Des jeux autour de la Bande Dessinée
    • Un espace bibliothèque
    • Atelier maquillage proposé par l’association Educ’Actions en Afrique
    • Un atelier avec des perles à repasser
    • Des fresques réalisées avec les enfants

    Tarif :

    • Gratuit pour les moins de 12 ans
    • 1 € : 12-18 ans
    • 2 € : adulte

  • Apéro-dédicace avec Alexis Horellou et delphine le Lay pour la sortie de leur nouvelle BD "Ralentir"

    horellou le lay.jpg

     

    Nous vous invitons vendredi 24 mars

    à partir de 17h30

    pour un apéro dédicaces

     

    autour de la bande dessinée

    RALENTIR

    publiée aux éditions Le Lombard

     

    Vous pourrez découvrir en exclusivité l'exposition des originaux des dessins de Alexis Horellou

    20170320_153134.jpg

  • MARQUISE de Joanne Richoux (Exprim', Sarbacane)

    marquise,joanne richoux,exprim,sarbacane,littérature ado,jeunesse,solene duroch,mlire,laval

    Voici un premier roman décapant inscrit dans un décor à la « Marie Antoinette » et un univers décadent. Sexe, drogue et alcool, ambiance rock’n’roll garantie à Versailles ! Bienvenue dans un monde de paillettes et de faux semblants où les jeux de manipulation sont plus mesquins qu’ils n’y paraissent…

     

    Charlotte et Billy se connaissent depuis l’enfance et n’envisagent pas de vivre séparés. Ils espèrent s’échapper de leur village qui ne leur offre aucune perspective d’avenir et s’envoler vers la capitale pour vivre leur rêve de liberté. C’est alors que Billy saisit l’opportunité du siècle : postuler à un casting exceptionnel en vue d’intégrer « les Voluptueuses », une communauté entourée de mystère où de jeunes gens talentueux sont choisis pour dévoiler leurs prouesses artistiques. Ils ont la chance et l’honneur d’intégrer la cour d’un richissime aristocrate résidant dans un luxueux château isolé sur une île écossaise. Cet homme fascinant appelé « Le Marquis », connu pour son excentricité, fait vivre ses fidèles dans le raffinement et l’opulence, un univers où tous les excès sont permis tant que l’art et la création sont au rendez-vous.

     

    Dans le domaine protégé du Marquis, la jeunesse totalement coupée de la vie réelle s’abandonne dans les artifices du succès et de l’apparence sans penser que l'intimité est mise à prix. Un jeu dangereux qui risque de brûler bien des ailes… Pourtant, Billy est prêt à tout quitter et à renoncer à son passé pour vivre cette expérience inédite. Charlotte se résigne à le suivre dans cette folie qui va vite les dépasser.

     

    Marquise est un roman rafraîchissant doté d’une énergie grisante, portrait au vitriol de nos sociétés modernes. La chute, saisissante, nous fait froid dans le dos par son terrible accent de réalisme. Et si nous en arrivions vraiment là ? Une mise en garde alarmante sur les dérives de notre époque.

     

    Comme ce roman a l'air super captivant et que c'est un nouveau eXprim', je l'achète (par ici) !

    Marquise

    de Joanne Richoux

    Sarbacane, eXprim' - 15.50

  • Alexandre Jardin à la librairie - mardi 14 mars à 18H

    alexandre jardin.jpg

  • Ce que nous avons perdu dans le feu de Mariana Enriquez (éditions du sous-sol)

    CVT_Ce-que-nous-avons-perdu-dans-le-feu_1242.jpg

     Le démon du mal est l'un des instincts premiers du cœur humain. Edgar Allan Poe.

    Pourquoi vous parler d’Edgar Allan Poe ? Simplement parce que dans Ce que nous avons perdu dans le feu, on retrouve une certaine atmosphère, pesante, funèbre, macabre et intrigante. De là à atteindre le degré de Poe, peut-être pas encore. Mais il y a quelque chose ! A voir avec les prochains écrits !

     

    Une atmosphère pesante, funèbre, macabre et intrigante, certes ! Mais qu’est-ce que cela donne dans les faits ?

     

    Direction l’Argentine, le plus souvent dans la chaleur – météo ou climat de quartier – et puis quelques histoires – que l’on peut qualifier de – particulières, douze au total.
    En voici quelques exemples : l’histoire de la disparition d’un enfant des rues, le tout dans une ambiance nocturne, funèbre où règne la culture de la Santa Muerte ; des enfants qui se passionnent pour l’horreur, visitent des maisons hantées et ne sortent pas indemnes de ces expériences ; un fantôme d’un tueur en série qui se présente sur le tour touristique relatant ses faits et devient une obsession – presque – incontrôlable pour le guide ; une femme, fascinée par une tête de mort trouvée dans la rue, pousse au fur et à mesure son mari hors du lit puis hors des murs et va peu à peu s’oublier ; des adolescentes qui gagnent en folie en s’arrachant ongles et cheveux et dont la malédiction semble se transmettre ; des femmes qui s’immolent par le feu pour crier leur haine envers des hommes cruels ou tout simplement par attirance pour le feu…

     

    Un recueil de nouvelles piquantes donnant à la peur le premier rôle dans cette pièce de douze actes. Douze actes aux scènes sinistres où l’étrange croise l’effroi, le macabre s’unit à la terreur, l’horrible se mêle au lugubre. Une écriture contemporaine et parfois crue qui joue énormément sur la psychologie des personnages.

    La peur est latente, prête à bondir, parfois étrange et inexplicable mais le texte ne fait que flirter avec le fantastique sans jamais y tomber, car oui, peur, macabre, funèbre mais pas de monstre inventé, tout semble être déjà présent dans les « instincts premiers du cœur humain ».

     

    Chronique de Serge Vessot

     

    Ce que nous avons perdu dans le feu

    Mariana Enriquez

    Editions du sous-sol - 19

     

    Pour le découvrir, vous pouvez l'acheter ici

     

  • La Bulle sonore à la bibliothèque de Nuillé/Vicoin - samedi 11 mars à 11H

    la bulle sonore.jpg

    Dans le cadre du Festival Monte dans l'bus organisé par le 6PAR4,

    Simon de la librairie et Ptit FAT s'associent pour vous proposer

    des lectures mises en musique et en ambiance sonore !

     

    Ça va être vraiment chouette !!!

  • Dimitri planchon, l'auteur de Blaise, en dédicace samedi 11 mars

    dimitri planchon.jpg

  • La nouvelle émission radio ONLIKOINOU est en ligne

    Retrouvez toute l'info de la littérature de jeunesse dans l'émission ONLIKOINOU

    16427443_381368165559942_7301383544207647154_n.jpg

    Au programme de l'émission (Mars 2017)

    Invitée :

    M'zelle Magali, chanteuse et musicienne

    On a présenté ses deux disques :

    Douceurs pour petites oreilles (dist : Victor mélodie)

    Bap di Boup (avec Pierre Bouguier - dist : Victo Mélodie)

     

    Lecture du fascicule "La petite histoire des bébés et des livres" - Association ACCES

     

    Lectures des albums :

    L'araignée Gypsie de JF Dumont et Andrée Prigent (éd. Kaléidoscope)

    La souris grise verte de Christelle Minier (éd. Moka)

    La météo marine de Thierry Dedieu (éd. du Seuil jeunesse coll Bon pour les bébés)

    Oh non George de Chris Haughton (Thierry Magnier)

     

    Les univers d'auteurs :

    Lucie Félix (publiée aux éditions Les grandes personnes)

    Chris Haughton (publié aux éditions Thierry Magnier)

     

    Dans le rétro :

    lecture de Bébés Chouettes de Patrick Benson & Martin Waddell (Kaléidoscope)

     

    on a parlé aussi :

    présentation de la série Boris de Mathis (éd Thierry Magnier)

    présentation de la collection Mes petits imagiers sonores (Gallimard)

    présentation du titre Donald Winnicot dans la collection Des graines et des guides (A dos d'Ane)

    Coup de coeur pour l'album Entre nous bébé signe de Cendrine Genin & Séverine Thévenet (éd Ane Bâté)

     

    Vous pouvez écouter toutes les émissions en cliquant ici

  • Onlikoinou #61 LES OGRES de Jean Gourounas (rouergue)

    LES OGRES

    Jean Gourounas

    éditions du Rouergue - 13.90€

     

    Pour l'acheter c'est ici